Déborah é sua nov aventura
En allant chez le cabeleireiro, j’ai demandé une nouvelle coupe mais aussi que l’on m’enlève ce poil dans la main qui m’empêchait de vous présenter la dernière roue du carrosse. Nous devions être quatre pour être fantastiques. Même s’il est difficile de faire le portrait d’une personne que l’on connait à peine, cela reste peut-être plus simple que de dessiner celui d’un ami de toujours.
Tem a pele pala é os olhos de asia.
D’ici et d’ailleurs, il en a fallu du temps et quatre continents pour en arriver à ce mélange étonnant, et c’est sans doute cet héritage d’horizons si divers qui la pousse tant au voyage. Elle le dit elle-même, elle ne peut pas rester en place et un mois à regarder la pluie battre la fenêtre, c’était plus que Déborah ne pouvait en supporter. Une adresse sur un bout de papier et en quinze jours la valise était bouclée. Persuadée que de se connaître soi-même, c’est comprendre les autres, elle vous étudiera de la même manière qu’elle fouille en elle. Il suffit de regarder ses photos pour comprendre qu’elle a l’œil alors attençao, elle vous y tient.