Présentation Rémi + atelier en PPLC

Adiou ! Je suis Rémi d’Agen (47), Léonardo à Lisbon jusqu’à fin mai pour apprendre notamment l’animation socio-culturelle/sportive et le portugais. Je quitte la France pour arriver en France, où nombre de portugais parlent français. C’est génial ! (non si, c’est pas que ironique 😛 )

Que dire en quelques mots de mes 1res impressions, si ce n’est la langue qui a l’air aussi tordue à apprendre que le français mais franchement plus chantante, que le centre-ville censé de la capitale du Portugal semble aussi grande que celle de Bordeaux, qu’y a 4 lignes de métros colorées, faciles à comprendre même pour un gonze comme moi qui n’a jamais vécu en grande ville, et les gens qui sont gentils et accueillant c’est dingue, mais tentez de parler le portugais et on vous fera bien remarquer que vous êtes français avec ce sacré accent 😀

Ah et le fado c’est vraiment à découvrir. Vraiment. <3

La PPLC, grâce à ces semaines on apprend le portugais, fais des visites de musées, d’activités pédagogiques et c’est sur l’une d’elle que porte mon article : écrire 25 mots des choses qu’on aimerai apprendre avant de mourir (/joke ou pas), en prendre une et la développer.

Alora la mienne c’est apprendre à voyager seul autour du monde, un globetrotter comme on appellerait ça. Je pense que une des meilleures expériences qu’on peut faire dans une vie, celle d’arpenter des pays dont on ne connait rien, pas la langue ni la culture. Où on est livré à soi-même, à ses peurs et craintes. Un acte de courage ou de témérité selon l’avis. Être globetrotter serait un bon moyen d’apprendre sur soi, de rencontrer pleins de monde et partager un moment plus ou moins long. Ces échanges permet de se construire, de s’épanouir et permet d’apprendre énormément sur l’humanité. En dehors de ça, le besoin élémentaire de survie, de sécurité se verrait accru. Car exit le confort de son foyer, faut trouver de quoi manger et dormir. Faire des trucs c’est cool mais protéger ses affaires, ses papiers, argent etc. En dépensant bien sûr le minimum d’argent, voire pas du tout car, oui je suis pas riche.

Etre globetrotter pour moi serait d’ouvrir énormément son esprit au monde. Parce que parait-il l’intelligence est de s’avoir s’adapter à la situation, là on table en plein dedans : s’adapter à un nouveau monde. Sans cesse. Rencontrer des gens, partager, dépendre que de soi et découvrir. Ce rêve est cependant plus réalisable qu’imaginaire. En faisant le Leonardo, je prend un petit avant-goût de vivre à l’étranger (même si pour le coup j’ai gavé d’aides).

Voilou. A bientôt pour d’autres articles – surement plus intéressant 😛

Rémi

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